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work 'n' stuff
January 17th, 2013 by admin

FGSM2

Une ressource pour ceux qui souhaitent présenter la communication médicale à travers la fiction : Medical Humanities Database (faculté de médecine de New York – NYU).  On peut chercher par mot clé, titre, auteur etc.

December 15th, 2012 by admin

Data loss

Fact :  computers sometimes crash.                       Fact : USB keys get lost.

How can we avoid losing vital information?  By using storage in the cloud.

The files can be backed up on your machine, accessed from anywhere via a web browser, and even shared with other people.

The two services I would recommend are Dropbox and Sugarsync

 

December 7th, 2012 by admin

Too much information? Résumé

Ce document est une tribune de Harriet Washington publiée dans le magazine New Scientist en septembre 2012.

Les parents souhaitent tous un enfant en bonne santé, et la science permettra bientôt de les informer plus tôt.

Deux nouvelles techniques de séquençage du génome ont été présentées en été par des équipes de l’université de Washington et de Stanford qui devraient être disponibles d’ici 5 ans.

Les deux méthodes reposent sur la présence de l’ADN du fœtus dans le sang maternel d’où il peut être extrait.  Un échantillon de sang ou de salive des deux parents pour le test de Washington ou de la mère uniquement pour Stanford est utilisé pour isoler et étudier l’ADN du fœtus.   Ces tests sont tous deux non-invasifs, et évitent donc le risque de fausse couche présent dans les tests actuels comme l’amniocentèse.

Les nouveaux tests permettent d’identifier une gamme d’anomalies génétiques bien plus élevée que les tests utilisés aujourd’hui, mais la question posée par l’auteur est que faire de ces informations ?  En effet, les anomalies génétiques ne mènent pas toujours à des pathologies, et il y a un risque de faux positifs.

Lorsqu’un fœtus atteint ne peut pas être avorté, quelle que soit la raison, ces informations pourraient être anxiogènes ou même utilisées pour justifier des primes d’assurance plus élevées.  Et lorsque l’avortement est possible il faut se poser la question de savoir si l’anomalie nécessite un avortement ou pas.  En effet, certaines maladies telles la trisomie 21 sont mieux perçues de nos jours, et d’autres, comme la maladie de Huntington pourraient même ne pas se déclarer.

Le dernier problème évoqué par Harriet Washington est celui de la diffusion de l’information.  Est-il raisonnable pour le praticien d’avertir tous les membres d’une famille qu’ils sont susceptibles d’être porteurs d’un gène défectueux ?

Pour terminer, l’auteur se félicite qu’il reste quelques bonnes années avant que ces techniques soient utilisées parce qu’il y a beaucoup de questions éthiques à débattre d’ici là.

November 30th, 2012 by admin

BBC Medical Cannabis document – résumé

Dans ce reportage de la BBC on évoque la consommation du cannabis pour raisons médicales.

En Grande Bretagne la consommation du cannabis reste illégal, mais pour certains malades la vie sans cannabis est insupportable.  Des britanniques souffrant d’un cancer, du sida ou de la sclérose en plaques vont souvent voir un médecin à Amsterdam pour se faire prescrire du cannabis à utilisation médicale, mais le ministère de l’intérieur affirme qu’ils ne peuvent le consommer au Royaume Uni.

Le reportage nous montre deux personnes malades qui cultivent le cannabis chez eux, ce qui les met hors la loi.

Ed Stratton souffre de la maladie céliaque, et doit prendre beaucoup de médicaments.  Il existe un produit légal, un alternatif au cannabis, qui s’appelle le Sativex, mais celui-ci coute très cher, et sa prise en charge par la sécurité sociale est généralement refusée.  Suite à un incendie du magasin situé en dessous de son appartement, la police a découvert ses plantes de cannabis, et il est poursuivi et reçoit une peine avec sursis.

Sarah souffre de la sclérose en plaques et utilise le cannabis pour contrôler ses tremblements et ses douleurs.  Non seulement elle cultive la plante pour sa consommation personnelle, mais elle en envoie à d’autres malades trop faibles pour la cultiver eux-mêmes, ce qui fait d’elle un dealer aux yeux de la loi.

Selon le gouvernement la consommation du cannabis mène à la psychose et le produit n’est d’aucune utilité médicale, mais le Royaume Uni doit respecter le chapitre des accords de Schengen concernant  la médecine, obligeant les états-membres à respecter une ordonnance émise dans un autre pays de l’union.

Un britannique disposant d’une ordonnance néerlandais pour le cannabis compte se présenter à la police et ainsi obliger la justice britannique à statuer.

November 23rd, 2012 by admin

Résumé-synthèse FGSM2

Ces trois documents traitent du problème des faux médicaments qui sont inefficaces ou même très dangereux.

Selon l’aide-mémoire de l’OMS le problème touche à la fois les médicaments génériques et les produits de marque dans le monde entier, mais la contrefaçon est la plus répandue dans les régions où le contrôle des produits pharmaceutiques est le plus faible.  Les fabricants changent régulièrement de méthode pour mieux imiter les produits authentiques.

L’OMS cite plusieurs raisons pour expliquer l’ampleur du problème: les médicaments sont onéreux, et les malades peuvent se tourner vers des sources moins chères comme internet où 50% des produits seraient contrefaits.  L’approvisionnement insuffisant dans les zones rurales des pays en développement favorise la distribution des produits non-réglementés qui s’échangent grâce à l’ouverture des marchés où il y a peu de contrôles.  Enfin, l’absence de législation dissuasive dans certains pays fait que les fabricants ne craignent pas les poursuites.

Le problème est suffisamment grave, notamment en ce qui concerne les traitements contre la malaria, pour que le CDC (Centre  pour le contrôle et la prévention des maladies) publie un document pour les américains qui visitent des pays en développement.   Il recommande aux voyageurs d’apporter leurs médicaments plutôt que d’acheter sur place.  Dans le cas où il faut les acheter à l’étranger le CDC préconise d’utiliser les pharmacies agréées et de vérifier à la fois la substance active et l’emballage.

En effet, un emballage de mauvaise qualité où figurent des fautes d’orthographe est l’un des signes d’alerte selon le CDC, tout comme un prix nettement inférieur, une étrange odeur, goût ou apparence.

Toutefois, la seule façon d’être sûr qu’un produit est une contrefaçon est de le soumettre à une analyse chimique qui est effectué dans un laboratoire.  Une équipe de chercheurs américains à l’université de Notre Dame, Indiana a développé un nouveau test pour vérifier l’authenticité de Panadol (paracétamol) qui peut être utilisé avec peu de moyens et d’expertise.

Baptisé PAD, cet objet de la taille d’une carte de crédit contient des tracés de produits chimiques permettant de détecter les différents substances authentiques et celles qui les remplacent habituellement dans les contrefaçons.

Les premiers tests ont montré que ces cartes étaient faciles d’utilisation, et leur coût faible est un avantage dans les pays où les contrôles sont insuffisants.  Maintenant Il faut trouver un partenaire industriel pour produire le test en quantité suffisante, et développer des tests pour d’autres produits.

Ce produit aidera à combattre ce fléau dans les endroits les plus touchés et contribuera à réduire la mortalité due aux faux médicaments dans le monde entier.

November 16th, 2012 by admin

FGSM2 – résumé vidéo

Dans cette présentation filmée à la conférence TED de 2011, Sheila Nirenberg évoque le problème de la cécité due à des maladies comme la dégénérescence maculaire liée à l’âge.  Les prothèses actuelles ne fonctionnent pas très bien, permettant seulement au porteur de distinguer des lumières fortes ou les contours d’un objet.

Son équipe travaille sur un appareil plus efficace qui imite la manière dont la rétine capte une image, l’encode et transmet des signaux vers le cerveau, même chez une personne qui n’a plus de photorécepteurs qui fonctionnent.  La combinaison encodeur-transducteur convertit l’image en impulsions électriques à l’aide d’équations mathématiques.

Sur une comparaison de signaux produits par un œil normal, par la prothèse actuellement utilisée et par la nouvelle prothèse développée par son équipe, on voit que les signaux émis par ce nouvel appareil sont très proches de ceux produits par un œil sain, ce qui n’est pas le cas du modèle de prothèse traditionnelle.

S’appuyant sur un exemple de photo de bébé, Nirenberg présente les images produites par ces signaux, et on voit que celle de la prothèse ordinaire ne permet pas de distinguer le visage.  Pour l’encodeur et transducteur par contre, le visage est reconnaissable, surtout pour l’encodeur.  Il suffirait de changer de transducteur pour que l’image restituée soit plus proche encore de l’original.

Leur approche prend le contrepied de la méthode utilisé jusque là, où on communique dans le sens cerveau->appareil, en cherchant à transmettre depuis le monde extérieur une image que le cerveau peut comprendre.  Cette stratégie pour remédier à des circuits endommagés peut être adaptée pour le système moteur, après un AVC par exemple, ou pour le système auditif en cas de surdité.

L’essentiel, pour Sheila Nirenberg, c’est de comprendre le code, et donc le langage du cerveau, et toutes sortes de choses deviendront possibles.

November 9th, 2012 by admin

FGSM2 Résumé Groupes 11-14

Voici une proposition de résumé :

Cet article du magazine The Economist évoque le développement de la médecine bactérienne qui pourrait s’avérer aussi important que la transition entre la phytothérapie et la pharmaceutique au 19ème siècle.

Des recherches récentes démontrent que l’équilibre de la composition de la flore intestinale est essentielle, et qu’un déséquilibre peut engendrer des problèmes de santé. Pour y remédier il est possible d’administrer une dose corrective de microbes pour par voie orale ou anale.

Près de Cambridge, Trevor Lawley de l’institut Wellcome Trust Sanger s’attaque à la prolifération de Clostridium difficile, effet secondaire des antibiotiques. Afin d’éviter la transplantation de matière fécale homogénéisée, il a mis au point un cocktail de bactéries chez la souris qui semble être tout aussi efficace. Une technique adaptée à l’homme pourrait épargner des milliers de morts tous les ans.

Le docteur Nathalie Vergnolle de l’INSERM travaille sur une modification génétique des bactéries utilisées dans le traitement des maladies inflammatoires chroniques intestinales. Elle a doté le Lactococcus lactis et le Lactobacillus casei du gène responsable de la production d’élafine afin de contrer l’activité d’élastase, enzyme qui peut être à l’origine d’une inflammation des intestins.

Des tests In vitro ont déjà produit des résultats très prometteurs sur des cellules humaines, laissant augurer de nouvelles voies pour le traitement des maladies diverses où la flore intestinale joue un rôle comme le diabète et l’obésité, ou même l’autisme.

Vous pouvez télécharger le document ici : Bugs In The System

November 7th, 2012 by admin

L2IS contrôles écrit et oraux

Le contrôle écrit pour le groupe 1 aura lieu le 5 décembre 2012. Vous pouvez vous munir d’un dictionnaire papier, mais aucun appareil connecté à internet (smartphone, tablette, ordinateur) ne sera autorisé.. Vous aurez à choisir entre une traduction du français vers l’anglais et un sujet d’expression écrite.

Veuillez noter que les dates des oraux se trouvent donc décalées d’une séance et auront lieu le 12 décembre, le 19 décembre et le 16 janvier.

Votre dépliant pourra donc être rendu jusqu’au 16 janvier 2013 (en mains propres s’il vous plait).