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October 20th, 2014 by admin

Frameworks for critiquing a research article

Download links :

Coughlan et al. Framework (2007)

Caldwell Framework (2011)

October 13th, 2014 by admin

Orthophonie 1A – résumé

Voici une proposition :

Ce documentaire produit par la BBC en 2010 pose la question “Pourquoi parlons-nous ?”

En effet, si bon nombre d’espèces produisent des sons pour communiquer, seul l’humain parle.  C’est ce qui nous distingue des animaux.  On exprime nos pensées grâce à une compétence très sophistiquée, mais qui est acquise sans difficulté par des enfants.

Deb Roy, chercheur en sciences cognitives a décidé de documenter l’acquisition de la langue chez son fils de la naissance à 3 ans, pour étudier le développement entre le premier mot et la première ‘phrase’ de 2 mots.

En commençant à étudier les centaines de milliers d’heures enregistrés les chercheurs ont découvert que les parents ont d’abord instinctivement simplifié leurs énoncés et puis sont passés progressivement  à des structures plus complexes.

Quelque part dans les données collectées se trouve la réponse à la question de comment on apprend une langue, un savoir-faire dont seul les humains sont capables.  Même les années passées à étudier nos parents les plus proches, les chimpanzés,  n’ont pas pu démontrer qu’un animal pourrait apprendre une langue.

On se demanda alors si c’était une question d’anatomie, mais les travaux de Tecumseh Fitch ont conclu que rien dans l’anatomie des animaux ne les empêche de pouvoir parler, et que par conséquent la différence chez l’homme devrait se situer dans le cerveau.

Cathy Price observe les régions du cerveau qui sont endommagées en fonction des problèmes de langage.  Elle a un patient,  Steve Steere, devenu aphasique après une AVC , qui participe à des tests.   Certains sont réussis, comme identifier une image qui correspond à une phrase ou nommer des objets, mais produire un verbe s’est avéré plus difficile.

En utilisant l’imagerie du cerveau des scans de Steve,  le Dr Price espère pouvoir cartographier le cerveau par rapport aux fonctions langagières de chaque zone.

William Fifer utilise également l’imagerie du cerveau .  Il mesure l’activité cérébrale chez le nourrisson et les réponses à différentes voix, et constate qu’un bébé réagit davantage à la voix de sa mère qu’à d’autres voix.

La faculté d’apprendre une langue avec autant de facilité chez l’enfant disparaît avec l’âge, sauf chez certaines personnes qui ont un cerveau particulier, comme Christopher Taylor, autiste qui parle plus de 20 langues et qui peut mémoriser des nouveaux mots très rapidement.  Ce don semble être une version extrême de notre capacité à apprendre une langue, que Chomsky pensait innée, la capacité à comprendre la grammaire et les sons.

Les scientifiques ne peuvent pas faire l’expérience d’élever un enfant en isolement pour voir si la langue est innée pour des raisons éthiques,  mais une équipe a trouvé le moyen de surmonter l’obstacle éthique de l’expérience interdite en utilisant des oiseaux (le diamant mandarin).  On a d’abord séparé des jeunes oisillons mâles de leurs géniteurs, avant l’apprentissage du chant, et ces jeunes mâles ont ensuite produit un son peu structuré et ont eu du mal à attirer une femelle.  Après l’accouplement il y a eu des oisillons né qui ont chanté comme le géniteur.  Cependant, sur plusieurs générations le chant a été amélioré pour finir par ressembler à celui des premiers mâles dont les oisillons avaient été séparés.  Cette expérience laisse penser que l’homme aussi produirait le langage sur plusieurs générations.

Toutes ces expériences font penser que la génétique doit être responsable de notre capacité à parler, et une étude de Faraneh Vargha-Khadem, neuroscientifique, portant sur  une famille dont la moitié avait un langage peu clair.  En examinant l’ADN son équipe  a identifié que le problème se situait sur le chromosome 7.  C’est lorsqu’ils ont étudié un enfant d’une autre famille qui avait le même problème et qui avait aussi une défaillance sur le même chromosome qu’ils ont identifié le gêne FOXP2.

Il s ont découvert plus tard que tous les vertébrés ont une version de ce gêne,  et qu’une mutation a rendu possible le langage chez l’humain.  On pense que cette dernière et l’apparition du langage coïncide avec les premiers outils fabriqués par l’homme, et depuis le langage s’est enrichi d’une génération à l’autre.

L’expérience de Simon Kirby demande aux participants d’apprendre des mots d’une langue inventée, et les erreurs d’un participant sont utilisées pour le participant suivant.  Au fil des participants la langue évolue vers un système logique de morphèmes que l’on peut combiner pour produire de nouveaux mots et énoncés.

Car comprendre comment le langage émerge à partir de nos interactions nous aiderait à comprendre ce que nous sommes.

(longueur ≈12% de l’original)

October 13th, 2014 by admin

Biobank debate article – traduction de l’abstract

Voici un premier jet :

Contexte : Le développement mondial des biobanques a soulevé quantité de questions bioéthiques autour du consentement, de la vie privée, du contrôle, de la propriété et de la transparence.  Les bioéthiciens ont salué le succès du livre de Rebecca Skloot, La Vie Immortelle d’Henrietta Lacks, voyant là une occasion d’impliquer un public plus large dans le débat sur ces questions.  Afin d’évaluer l’impact du livre sur les discussions dans les médias et dans la culture populaire en général, nous avons analysé de manière systématique les thèmes liés à l’éthique qui sont mis en valeur dans les comptes rendus et articles à propos du livre, et dans les interviews et présentations de Skloot.

Méthodes : Nous avons analysé le contenu d’une collection d’articles et transcriptions sur le sujet (n=125) en langue anglaise et produits par des agences et éditeurs d’informations aux Etats-Unis, au Canada, en Grande Bretagne et Irlande, en Australie et en Nouvelle Zélande.  Nous avons noté chaque article en fonction de l’importance et la présence de 9 thèmes liés à l’éthique.  C’est-à-dire le consentement éclairé, le bien être des plus vulnérables, la compensation financière, le progrès scientifique, le contrôle et l’accès, la responsabilité et la surveillance, la vie privée, l’éducation du grand public et la promotion.

Résultats : Le thème du consentement éclairé a dominé les discussions dans les médias ; presque 39,2% des articles et transcriptions mettaient l’accent principal sur ce thème, et dans 44,8% le thème était traité en complément.  D’autres thèmes et cadres de référence importants se concentraient sur le bien-être des plus vulnérables (18,4% accent principal, 36,0% accent secondaire) et la compensation des donateurs (19,2% accent principal, 52,8% accent secondaire).   Les thèmes éthiques de deuxième niveau comprenaient le progrès scientifique, le contrôle et l’accès et la responsabilité et la surveillance.  Les thèmes les moins en vue étaient ceux de la vie privée, de l’éducation du grand public, et de la promotion.

Conclusions : Le livre a été acclamé parce qu’il présentait l’occasion de magnifier la discussion de la bioéthique dans les médias, mais de telles affirmations devraient être revues.  La focalisation étroite des médias sur le consentement éclairé dans les discussions du livre de Skloot pourrait limiter la capacité des éthiciens et militants à élever l’attention vers le droit du donneur à contrôler l’utilisation, la compensation financière, le brevetage, la vie privée et d’autres questions éthiques.  Néanmoins,  les éthiciens devraient considérer le livre et sa prochaine adaptation télévisuelle comme des occasions de mettre en lumière, à travers l’information dans les médias, les exercices de consultation et des forums publics, une plus grande variété de questions bioéthiques qui seraient autrement trop peu présentes dans l’actualité.  De tels efforts devraient pourtant être soigneusement planifiés et évalués.

 

October 10th, 2014 by admin

Phonetic transcription (UK pronunciation)

Although : /ɔːlˈðəʊ/

Beauty : /ˈbjuː.ti/

Bomb : /bɒm/

Ceiling : /ˈsiː.lɪŋ/

Charisma : /kəˈrɪz.mə/

Choice : /tʃɔɪs/

Cough : /kɒf/

Excercise : /ˈek.sə.saɪz/

Exhibition : /ˌek.sɪˈbɪʃ.ən/

Hour : /aʊər/

Light : /laɪt/

Phase : /feɪz/

Quiche : /kiːʃ/

Quake : /kweɪk/

Sixteen : /ˌsɪkˈstiːn/

Thigh : /θaɪ/

Tongue : /tʌŋ/

Whose : /huːz/

Writhe : /raɪð/

Speech : /spiːtʃ/

Language : /ˈlæŋ.ɡwɪdʒ/

Therapy : /ˈθer.ə.pi/

Stutter : /ˈstʌt.ər/

Lisp : /lɪsp/

Psychology :  /saɪˈkɒl.ə.dʒi/

 

October 1st, 2014 by admin

L2IS Traduction – doc 1

Votre travail commun :

Pain can be seen in the eyes

Pupil size and contraction when stimulated by light could be good indicators of the intensity of pain a patient feels.

Since eyes are the mirror of the soul, there is nothing surprising after all in being able to perceive pain in them. Reducing the subtlety of a gaze/look to a few easily measured parameters wasn’t (that) simple however. Researchers from the University of Paris-Diderot 7 in association with the French national institute for medical research set themselves this task.

Jean Guglielminotti, an anesthetist, chose to study pupil diameter and contraction intensity after  stimulation by light in an extreme case: childbirth. “We wanted to establish the connection between two parameters, pain of (uterine) contractions during delivery and relief via/by/thanks to epidural analgesia,” he explains. With his team he used cameras to film the pupils of twenty-four women in four distinct situations: before and after epidural, with and without contractions.

Quantifying the effectiveness of painkillers

The results confirm preliminary studies carried out in the nineties according to which the pupil diameter increases with pain. They also established that contraction is more noticeable after stimulation by light when the pain is strong. On the other hand these minor variations are very hard to detect with/barely visible to the naked eye. Highly accurate and extremely fast cameras are indispensable.

Another difficulty was that the researchers did not manage to determine a generic threshold allowing them to confirm/check whether a person is suffering or not. “Nevertheless, each person could be his/her own witness. That/this means that by measuring the evolution of these parameters over time, before and after analgesic treatment for example, it would be possible to establish the variation in pain and thereby know if the treatment has been effective or not,” explains Jean Guglielminotti.

This study, recently published in Anesthesia and Analgesia, could/might therefore enable doctors to judge how effective an analgesic is in a more objective manner. At this time, the only way to gauge a patient’s pain is to ask him to rank it on a scale from one to ten. The scientists also hope to develop a method allowing them to detect pain in people who cannot communicate: young children, comatose patients or those suffering from locked-in syndrome.

September 29th, 2014 by admin

Orthophonie 1A C-Test 4 Corrigé

Voici le texte d’aujourd’hui en version complète :

In the autumn of 1992, at the age of fifty-two, I volunteered to be a guinea pig in an experiment conducted by the National Institute on Deafness and Other Communication Disorders, one of the research units of the federal government’s National Institutes of Health (NIH) in Bethesda, Maryland. Medical researchers there were engaged in a long-term study of the chemistry of the brain as it relates to stuttering. They were also experimenting with a pharmaceutical approach to the treatment of stuttering–in other words, searching for a drug that, by affecting the chemistry of the brain, would help, perhaps even cure, stuttering.

If ever there were somebody in need of a pill to treat his stuttering, that somebody is me. Nothing else I have tried has worked–and I have tried almost everything there is to try. I have been to speech therapists and psychotherapists. To reduce the stress that exacerbates my stuttering, I have meditated, done deep-breathing exercises, and floated under a condition of sensory deprivation in a dark, enclosed isolation tank. I have been Rolfed and Reubenfelded. Like Demosthenes at the sea (but without putting pebbles in my mouth), I have worked hard to strengthen my voice by orating aloud. Every day for six months I declaimed Walt Whitman’s “Song of the Broad-Ax.” “Muscle and pluck forever!” the old bard wrote, and muscle and pluck I certainly had. Yet I still stutter–”just as good” (as my self-help friend John Ahlbach might say) as I have always stuttered, which is pretty bad if disfluency is the measure and fluency the ideal.

I have always stuttered. Ever since I began to speak I have stuttered. One speech pathologist told me that I was the most organic stutterer he had ever heard. By this he meant that even in situations of no apparent psychological stress, situations in which other stutterers can expect to be fluent, I can’t. Most people who stutter are fluent when singing, reading aloud to themselves, or talking to their pets. And it’s true, I can speak to my cat Garbanzo with fluent ease. But there is more to speech than communicating with cats, who, at best, are capricious listeners. The basic fact of my life is that every time I open my mouth to speak to another person, I expect to stutter and usually do.

Source: Marty Jezer, Stuttering – A Life Bound Up in Words, BasicBooks

 

September 8th, 2014 by admin

FASM1 année 2014-2015

L’emploi du temps de l’année 2014 à 2105 a permis de placer 10 heures d’anglais qui seront consacrées à l’entrainement à la lecture critique des articles de recherche clinique.  L’assiduité est bien entendu obligatoire et sera contrôlée à chaque heure.

Pour l’évaluation veuillez lire attentivement les consignes ci-dessous

Choisir un article de recherche clinique ( publié entre 2012-2014) et envoyer pour accord l’abstract de celui-ci à votre enseignant(e) avant le 31/10/2014.

Remettre un dossier en mains propres entre le 1 et le 10 avril  2015 (des permanences seront organisées) contenant :

  • l’article entier imprimé
  • la traduction de l’introduction
  • un commentaire critique en français de 1000 mots**
  • un glossaire de mots peu familiers (IPA + traduction) et termes techniques (définitions)

**Ne pas résumer le contenu de l’article dans cette partie, mais apporter des observations critiques sur le fond et la forme.

 

September 8th, 2014 by admin

FGSM3 année 2014-2015

Les consignes pour l’évaluation en anglais sont reconduites :

Vous préparerez une présentation d’une durée d’environ 8 minutes sur un sujet médical en vous servant d’un document PowerPoint (ou équivalent) pour illustrer vos propos.  Vous ne devez en aucun cas lire vos notes sous peine de ne pas valider l’épreuve.

Vous veillerez à éviter les sujets trop généraux. Ainsi, plutôt que de simplement présenter une pathologie, vous vous concentrerez sur un aspect de celle-ci. Il est vital que le contenu scientifique soit suffisamment approfondi.

“Vous remettrez à l’examinateur un document en anglais de 5 pages qui comportera

a.       le résumé de votre présentation (250-300 mots)
b.      une à deux pages d’informations supplémentaires sur le sujet
c.       un glossaire d’une page, comportant la définition et la prononciation des mots-clés de votre sujet
d.      une bibliographie commentée d’une à deux pages.”
L’objectif principal des cours d’anglais est de vous aider à préparer cette présentation.  Aussi, n’hésitez pas à poser toutes vos questions à votre enseignant(e).